Résumé : "Il aura fallu attendre le discours du Président Jacques Chirac, le 16 juillet 1995, à l’occasion de la commémoration devenue traditionnelle depuis de nombreuses années, de la massive « Rafle du Vel d’Hiv » du 16 juillet 1942, pour que la plus haute autorité de l’Etat reconnaisse, enfin, la part de responsabilité des autorités françaises dans les persécutions, dont la communauté juive a été victime, durant l’Occupation. [...]" David Ruzié