Réparation des spoliations antisémites : l'exemple autrichien (intervention de Hannah Lessing lors du colloque organisé le 15 novembre 2019 à Paris par la Commission pour l'indemnisation des victimes de spoliations intervenues du fait des législations antisémites en vigueur pendant l'Occupation)
Résumé
C'est en 1991 que l'Autriche a reconnu sa part de responsabilité à l'égard des victimes du national-socialisme. Comme en France, cette reconnaissance tardive a été le préalable à la mise en place de politiques de réparation en faveur des victimes : création du "Nationalfonds" en 1995, et mise en place de l'"Entschädigungsfonds" en 2001.
Hannah Lessing est la secrétaire générale de ces fonds. Elle dirige par ailleurs la délégation autrichienne à l'Alliance Internationale pour la Mémoire de l'Holocauste (IHRA). L'évolution de la mémoire nationale autrichienne vis-à-vis de son passé, et l'établissement de dispositifs d'indemnisation et de restitution, ne sont pas sans similitudes avec la situation française depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Aussi son intervention apporte un éclairage nouveau sur la mission confiée à la CIVS, dont le colloque du 15 novembre 2019 célébrait le vingtième anniversaire.
Hannah Lessing est la secrétaire générale de ces fonds. Elle dirige par ailleurs la délégation autrichienne à l'Alliance Internationale pour la Mémoire de l'Holocauste (IHRA). L'évolution de la mémoire nationale autrichienne vis-à-vis de son passé, et l'établissement de dispositifs d'indemnisation et de restitution, ne sont pas sans similitudes avec la situation française depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Aussi son intervention apporte un éclairage nouveau sur la mission confiée à la CIVS, dont le colloque du 15 novembre 2019 célébrait le vingtième anniversaire.
| Format du dépôt | Fichier |
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| Type de document | Vidéo |
| Langue du document |
français
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| Date de publication |
2019-11-15
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